
Est venue l’heure de découvrir de nouveaux aspects de notre vie, perdre ses repères tout en se sentant plus libre que l’on ne l’a jamais été malgré les nombreuses embûches qui nous parviennent et nous attachent comme des chaînes à notre enfance: voici l’adolescence à son paroxysme.
Ici c’est l’adolescence des années 1980 à 2000 bercée par la vibe rock/punk rock/new wave. Sur des tons plutôt chauds comme un voile rouge qui couvre les sentiments et la sensualité, le vert comme pour une nostalgie plutôt âcre et une profondeur de sentiments pas tous très agréables. Mais aussi des tons plus froids, évoquant la sensation de néant et de solitude sans futur envisageable.
Le Grand Bain n’est pas sans rappeler une des phrases entendues de la bouche de tous, des adultes et de la société en général: «faire le grand saut» comme un enfant tiraillé entre deux mondes, qui sortirait de sa zone de confort par la contrainte que son corps lui impose, car lui serait prêt pour plus.
Le Grand Bain n’est pas sans rappeler une des phrases entendues de la bouche de tous, des adultes et de la société en général: «faire le grand saut» comme un enfant tiraillé entre deux mondes, qui sortirait de sa zone de confort par la contrainte que son corps lui impose, car lui serait prêt pour plus.
L’adolescence! Période idyllique mais néanmoins tumultueuse. On se laisse happer par le courant de sociabilité encouragé par des liens sociaux comme: la musique, les soirées, l’alcool, la cigarette, le cinéma, le style vestimentaire à cet âge. On se découvre soi et son corps. On se forge grâce aux fameux obstacles que sont les amours de jeunesse, la santé mentale qui nous joue des tours, les hormones et l’effervescence des émotions. Mais c’est aussi l’occasion de rencontrer des personnes qui nous influenceront toute notre vie, ainsi que nouer des amitiés solides.
Le grand bain c’est avant tout l’allégorie de l’adolescence comme une grande piscine sans fond dans laquelle on est poussés ou alors dans laquelle on saute avec passion.


